Maison Lejaby, savoir-faire corsetier

70% des femmes ne connaissent pas la taille de leur soutien-gorge. Et il y a quelques années, j’en faisais encore partie.

Ce n’est pas moi qui le dit, mais Maison Lejaby, qui, à l’occasion du lancement le 11 octobre de la première semaine du Savoir-Faire Corsetier, dispense les 10 règles d’Or pour une lingerie parfaitement adaptée.

Lejaby et moi, c’est finalement une très vieille histoire, puisque les premiers soutiens-gorge de qualité que je me suis offert étaient des Lejaby.

La maison renait de ses cendres en 2012 grâce à Alain Prost (pas l’ancien pilote de Formule, mais son homonyme), ancien Directeur-Général de La Perla, et devient Maison Lejaby : l’esprit d’antan réapparait, et la marque se décline en trois collections créatives et ambitieuses, dont l’une, Maison Lejaby Couture, dédié à la lingerie de luxe de confection 100% française. Pour le plus grand plaisir des amatrices…

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Je ne pense pas connaître pire plaie qu’un soutien-gorge inadapté : trop petit, trop grand, bretelles mal réglées, j’ai vécu les joies non partagées de la « torture du soutif », avant que je n’apprenne les règles simples qui permettent de choisir ses soutiens-gorges comme il faut.

Maison Lejaby, forte de ses 130 ans d’existence et de savoir-faire corsetier, souhaite sensibiliser les femmes à l’importance de porter un bon soutien-gorge, et nous invite à découvrir l’opération dans les plus de 300 boutiques et points de vente partenaires.

En attendant de passer en boutique, vous retrouverez les 1O conseils essentiels ici

Je ne vous laisserai pas sans vous indiquer que l’intégralité des collections est visible sur le site officiel de la marque, que les visuels sont très réussis, et que j’ai un coup de coeur particulier pour cette pièce, qui est déjà sur ma wishlist (de Noël ?) …

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2 Commentaires

  1. Sylvain
    24 octobre 2013 / 21:35

    Cette statistique est certainement. Côté masculin, elle est encore plus frappante. Pratiquement tous les hommes auront un discours du type « moi, je suis caleçon, je déteste les slips » ou « je n’aime que les boxers » (je passe tous les explicatifs du genre « ça m’serre »). En revanche, très peu sauront expliquer vraiment comment ils font leur choix et encore moins auront testé les différents types de sous-vêtements (que ceux qui ont essayé le caleçon à suspension lèvent le doigt ; ils ne seront pas nombreux). En général, le choix se fait en fonction du type (par la négation, plus que par avantages), de la « renommée » de la marque (les sous-vêtements Calvin Klein sont une vaste blague) ou du prix, mais jamais par l’emplacement des coutures, leurs finitions, la qualité du tissu, le nombre et l’emplacement des boutons ou l’emplacement de l’étiquette.

    C’est bien dommage. Plutôt que de dépenser des fortunes en baskets, t-shirts et autres (ce que je condamne pas), je conseillerais aux hommes de commencer par leurs sous-vêtements et de bien les choisir. Nul besoin de dépenser des milles et des cents, le prix ne donne pas le niveau de qualité. Juste besoin de tester, de juger et de choisir le bon produit en fonction de son anatomie et ses sensations.

    Pour ma part, j’estime que cette pièce de notre vestiaire est la plus importante pour mon confort et pour passer une bonne journée.

    • Alexandra
      27 octobre 2013 / 16:02

      Merci ton ton analyse, complète et détaillée, à laquelle j’adhère complètement.
      A bientôt.

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