Perfecto

Perfecto.

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En espagnol, parfait, comme la marque des cigares cubains que fumait Irvin Schott, le manufacturier américain du textile et du cuir, celui qui l’a introduit dans la culture-moto dans les années 1920, à la demande particulière du concessionnaire Harley-Davidson.

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Au cinéma, on l’a vu sur le dos de Clark Gable, Marlon Brando dans l’Equipée Sauvage, ou James Dean. Plus tard, on l’a vu sur des rockers plus ou moins punks, et il est revenu en force dans la culture-mode de la rue des années 1980/1990. Il est associé au mauvais garçon, à la transgression, à la liberté.

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Ce blouson noir qui aura bientôt un siècle est une pièce qui est finalement assez simple à intégrer dans son look. Cousin germain du simple blouson de cuir « motard », il donne un ton rock à n’importe quelle tenue, pour peu qu’il soit mixé avec un pantalon ou une robe bien coupés.

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Je suis restée dans la gamme chromatique des blancs/gris/noirs, ai misé sur un pantalon 7/8 fuselé et imprimé, cardigan noir et sac en cuir assorti.

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Mon perfecto, je l’ai fait entrer dans ma garde-robe récemment. C’est une pièce que je désirais depuis longtemps, mais je n’avais pas encore pu trouver THE perfecto à la coupe et à l’aspect cuir satisfaisant. Le mien n’est pas en cuir véritable, mais en cuir synthétique de très belle qualité. Vous pourrez le trouver auprès des Galeries Lafayette dans leur marque Avant-Première.

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Crédits photo : KF – Tous droits réservés / Images prises aux abords de l’Eglise Sainte-Radegonde à Poitiers.

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