Les expos, le shopping, les balades et découvertes en tous genre, c’est bien, mais la question beauté, c’est mieux. Même en vacances, j’ai tenu à honorer ma coquetterie habituelle, et j’ai testé quelques adresses repérées, ou que l’on m’avait recommandées.
Quiconque a un jour regardé l’émission télévisée « Nouveau Look pour une Nouvelle Vie« , présentée par Cristina « Ma Chééééériiie » Cordula, que je trouve très chouette, a entendu parler de l’Atelier du Sourcil, institut spécialisé sur le travail du sourcil, crée par Joss Devilleneuve en 2006.
N’ayant pas particulièrement de problème de pilosité excessive, mais souhaitant redessiner ma ligne, j’ai poussé la porte de l’institut du 6 rue Dussoubs, à quelques mètres du Passage du Grand’Cerf, dans le 2ème arrondissement de Paris.
Rendez-vous pris pour 12h30, je suis reçue avec quelques minutes d’avance, en toute simplicité. Je suis invitée à m’installer en position allongée sur un lit plutôt confortable, et l’esthéticienne se penche, à la loupe grossissante et à la lumière vive, sur le cas de mes sourcils.
Le diagnostic n’est pas sévère, mes sourcils n’ont pas besoin d’un gros débroussaillage, on redessine la ligne pour un faire une virgule plus droite et plus large afin d’agrandir le regard. L’épilation se fait exclusivement à la pince, et l’opération n’est en rien douloureuse, car la technique est rapide et précise. Après un peu de crayon pour combler les trous, j’observe dans le miroir le résultat, et je ne suis pas mécontente : je trouve que la restructuration donne du pep’s à mon visage.
L’institut propose également la pigmentation des sourcils : il s’agit d’un maquillage semi-permanent, destiné à combler durablement des trous dans la ligne. Il s’agit d’une prestation plus chère, mais qui permet de sa passer de la manipulation du crayon au moment du maquillage.
Je ferai évidemment effectuer l’entretien de ma nouvelle ligne auprès de mon institut fétiche à Poitiers, mais ne manquerai pas de fréquenter à nouveau l’Atelier du Sourcil lors de mon prochain séjour à Paris.
Restructuration des sourcils : 30€
Entretien mensuel : 20€
Sur la route du boulevard Haussmann et des grands magasins, je me suis arrêtée dans la boutique Bourjois du Passage du Havre, centre commercial très vaste sur plusieurs niveaux.
J’ai testé pour le fun le bar à ongles : le principe, pour 1 €, on se pose soi-même les vernis qui nous plaisent parmi les multiples couleurs à disposition dans l’espace onglerie. L’occasion de tester les nouveautés en matière de vernis avant de céder à l’acquisition du flacon tant désiré.
J’ai personnellement opté pour un trio pastel taupe, rose tendre et bleu, que j’ai malheureusement un peu massacré quelques minutes après mon passage en fouinant dans mon sac. L’aventure est quand même amusante, même si j’ai eu tout de même une petite déception à la découverte du « bar à ongles », qui n’est pas aussi vaste que j’aurai pu l’imaginer.
J’en ai profité pour ramener dans mes bagages les fameux tatouages éphémères introuvables dans ma contrée lointaine (rayé) à Poitiers, que j’ai essayé le soir même : rigolo comme tout, facile à appliquer, très mignons dans les motifs et assez coriace à enlever, ils sont parfaits pour accessoiriser un look (et si !) ou surprendre en soirée. Le seul bémol, l’illusion n’est pas parfaite quand on observe le tatouage de près, car la peau fait des micros-plis.
Mais c’est toujours mieux que les décalcos de Malabars !
A l’invitation de Julien, make-up artist pour Bobbi Brown, « rencontré » virtuellement via Twitter, je me suis rendue au Sephora de la rue de Passy, où il m’attendait pour un maquillage en toute simplicité et décontraction. Ce fut l’occasion de vous rencontrer « In Real Life » .
Julien est ambassadeur Bobbi Brown, et grâce à lui, j’ai pu découvrir et tester cette enseigne cosmétique que je ne connaissais que de nom.
Bobbi Brown est une américaine qui a tenu, au regard des contraintes que lui imposaient sa vie de mère de famille et femme active, concevoir une ligne de cosmétiques qui répondait à des exigences de simplicité et d’efficacité.
Les textures sont donc confortables, adaptées aux multiples types de carnations et sensibilité épidermiques. Les produits sont également et évidemment non-comédogènes, non testés sur les animaux et ne contiennent aucuns parabènes.
Julien a donc misé pour moi sur un maquillage léger mais couvrant, un smocky marron réalisé grâce à l’eye-liner gel de la marque, à appliquer au pinceau, un petit miracle de produit qui fait tout et qui se travaille très facilement.
Conquise par le résultat de ce maquillage qui réveille l’éclat de mon visage, je pense substituer peu à peu certains produits Bobbi Browm à certains que j’utilise actuellement sans grande conviction.
La rencontre avec Julien, outre la maitrise parfaite de son art, fut très chouette. Ce jeune homme est charmant, à l’écoute, et très drôle. Un plaisir d’avoir pu échanger avec quelqu’un aussi passionné par son métier de maquilleur également.
Je n’aurais pu quitter Paris sans me rendre dans l’une de mes boutiques cosméto-fétiche, à savoir le Lush Paris 3 rue du Renard, entre l’Hôtel de Ville et le Centre Georges Pompidou.
Dans mon petit panier, trois nouveautés à tester : le shampoing galet « Pousse Plus Vite », le masque pour les pieds au menthol « Volcano » et la crème pour le corps « Caritativement belle ».
J’ai acheté « Pousse Plus Vite » dans l’idée de booster la croissance de mes cheveux. Le shampoing est composé de plantes et d’épices qui stimulent la croissance pileuse et capillaire. Premier lavage effectué, je verrai à la longue si ma croissance capillaire s’améliore. Quoi qu’il en soit, boostant ou pas, ce shampoing rend mes cheveux tout brillants, et tout ça sans sérum, masque, huile ou crotte de pigeon magique. J’adore.
Le masque pour les pieds « Volcano » est un réconfort pour moi la marcheuse compulsive dans les rues de Paris. L’application pourrait en revanche être plus simple, surtout pour les utilisatrice qui voyagent : on applique sur les pieds, de préférence la voute, en couche épaisse, et on empaquette ses pieds avec du film étirable pour ne pas que le masque sèche. Point de film étirable dans ma valise, j’ai fait avec des sacs en plastique noués aux chevilles, pas top glamour, mais efficace. Efficace aussi le masque, puisqu’une très agréable sensation de fraicheur s’est abattue sur mes petons. Oh joie ! Et ma sensation de pieds fatigués disparait comme par magie ! Il faut ensuite rincer, à l’eau fraiche pour encore plus de sensation fraicheur.
Ma peau a pris quelques rougeurs au soleil de Paris, j’avais besoin d’un fluide hydratant qui fasse office d’après-soleil, apaise et nourrisse la peau de mon petit corps. On m’a conseillé la « Caritativement Belle », qui hydrate au top grâce à son heure de cacao et sent bon, mais dont une partie du prix de vente est reversé à l’association Actuanimaux.
L’illustration parfaite de « joindre l’utile à l’agréable »…
Un article pleins de douceurs et de jolis clichés. J’aime beaucoup ! 🙂
Merci ! Ton dernier article en direct du Japon est génial ! A bientôt.
super sympa ton article =)
quel bel endroit =)
bisous